
Un de ses soirs que je m’ennuyais de mon chien et où j’entendais ceux d’ici hurler à la lune qui n’est pas là, j’ai vu, devant ma fenêtre, passé un merveilleux petit malamute d’à peine deux mois.
Dans mes balades quotidiennes (plusieurs par jour!), je croise beaucoup de chiens. D’ailleurs, j’ai toujours un caillou dans ma poche droite au cas où ils aimeraient faire un gigot de ma jambe. (Ça fait partie des 428 recommandations et conseils que j’ai reçus.)
Je ne suis pas réellement surprise d’en voir en si grand nombre surtout que j’en croise autant près de la maison à Montréal. Le chien est important pour les Inuits, il a longtemps été et il est toujours son fidèle compagnon de route et d’excursion. Sa fourrure sert régulièrement à la confection de vêtements. Sans compter que le chien a également des pouvoirs curatifs. Pour ceux qui souffrent de furoncle, de verrue ou d’autres trucs du genre, voilà ce que vous devez faire. Par contre, comme vous allez le remarquer, il faut des ingrédients un peu particuliers. Je vous suggère d’aller au boucher du coin pour peut-être trouver de la peau de caribou…
Médecine traditionnelle : Le chien
S’ils ne sont « ni trop mous, ni trop durs » et proviennent d’un animal en santé, des excréments de chien enveloppés dans une peau de caribou et un linge peuvent servir à faire suppurer un furoncle. Réchauffés et frottés directement sur la peau, ils agiront contre les engelures et l’impétigo. Ils servent aussi à « exorciser » le bourbillon d’un furoncle; en effet, on place le pus dans les excréments pour que le malade ne soit pas affligé d’autres furoncles pendant longtemps.
On frotte de la graisse de chien sur les verrues ou sur un furoncle ouvert pour empêcher la peau de guérir avant que la chair ne se soit reformée. La peau provenant du côté d’un jeune chien est aussi très efficace pour faire suppurer les furoncles. (Tiré du site de l’Institut culturel Avataq)
Belles photos de chiens!!